J'oubliais: "rendons à César ce qui est à César..."
On sait combien César excellait à remercier généreusement ceux qui l'avaient offensé. Sous couvert de pardon, une bonne manière de semer le trouble dans les rangs adverses...
Le Rubicon n'a pas encore été franchi, le sera-t-il?
La faiblesse actuelle des membres de l'opposition (mais y en a-t-il encore une digne de ce nom en France?) paraît évidente.
Méfions-nous, dans un régime démocratique, la faiblesse d'une opposition est toujours un très mauvais signe.
18 mai 2007
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